Citation.

La mort, la fin de toute chose, celle qu’on redoute le plus, mais si elle venait dès le début? Chaque instant, chaque seconde, serait amélioré au mieux. Mais quand le temps est compté, on n’a guère le loisirs de s’abandonner à ce genre de chose. L’amour pour la vie, qu’il soit blanc ou noir, finit au même endroit que le crime. Toute chose sur terre est punie, si votre avenir est mal. Le scane, le pire ennemie des humains... A peine 15 ans est déjà confronté à se supplice, qui tient votre vie entre ses mains. Mon choix, fuire cette chose, qui manipulait les gens. Ma vie m’appartenais encore, et je n’allais pas la laisser au pied des scientifiques juste car il y aurait une possibilité que je comette un crime. Que minuit sonne ou pas, je ne me rendrais pas à ce foutu scane. Jamais je donnerai mon avenir de cette façon. Le miroire m’avait toujours renvoyer un image déchus de moi, me rendre là-bas serait comme me rendre un prison. L’immeuble où je séjournais depuis l’assasina de mes parents, se trouvait en plein coeur des rues mal fréquenter de New York. Avant de traverser cette endroit sinistre, je mis le stricte nesséssaire dans un sac à dos classique. Ils avaient décidées de pourrire mon excitence, mais tant qu’à faire, c’est moi qui leurs ravagerais la leurs. De toute façon, cette vie ne mène qu’à la mort, alors autant décider comme mourire. Rabattant ma capuche sur mon crane, je sortis tête baissé dans le couloirs. Les murs des corridors étaient dépourvut de tapisserie, des tags en grande quantiter faisaient leurs loi. Une odeur de vieille cigarrette et de Wisky, circulait dans tout l’immeuble, un mélange fort désagréable. Pourtant, cette odeur, je devrais en être habitué. Enfin, j’arrivais devant l’escalier. Les marches semblait glissante, les rampes trop sales pour que l’on se soutienne dessus. Impossible de descendre sans se blesser, mais bon. Je finit finalement par arriver au bas de l’immeuble. Le quartier était sombre, et désert. Comme chaque jours... Cette peine d’exile terrifiait même les plus robustes, et pourtant, c’était une fille comme moi, avec à peine 15 ans qui défiait le scan. Qui aurait put croire à de tel annerie. Bien que la rue soit déserte, je devait me réfugiais, mais resté à savoir où... Mon destin j’allais le proteger, en quelque façon que ce soit.